Le Festival Bars en Trans est de retour du 7 au 9 décembre 2023 pour sa 27ème édition. Avec au programme dans les bars, les théâtres et d’autres lieux dédiés à la musique, comme la Salle de la Cité, 100 groupes français ou francophones représentant tous les styles : musiques urbaines, folk, chanson pop, rock, electro…
Bars en Trans anime les lieux au 4bis pour une soirée unique le samedi 9 décembre !
Venez découvrir les artistes qui s’y produiront :
Damlif
Membre du collectif 75è Session (Nepal, Zinée, M le Maudit, Sheldon, …) Damlif propose un hip hop hybride qui mêle rap technique et musique alternative. Signé chez les excellents Yotanka, l’artiste sort du bois discrètement et déroule un rap très bien écrit portée par des nappes de guitares aériennes où l’intime et la mélancolie touchent en plein cœur, dessinant les contours d’une personnalité forte et d’une musique libre. Au programme : introspection et déraison, un cocktail détonnant qui place ce futur grand dans la droite lignée des enfants de Lomepal.
Anzu
Pour Anzu le flow est une arme et sa voix découpe à tour de bras. Originaire de Clermont-Ferrand, elle s’inscrit dans la scène rap new wave des Rounhaa et Khali, en passant par la pop trash et assumée d’une Kalika. Produite par Coeur Balance (ex-Rocky), ensemble, ils jouent entre inspiration trap-métal, dancehall sombre ou explorations pop et mélancoliques et rappent sur une jeunesse qui brûle la vie par les deux bouts.
Mowdee
Compositeur, auteur et interprète, Mowdee pense tout haut, raconte ses cascades, ses escapades et nous invite dans un univers qui nous semblait jusqu’ici inconnu : la Gangsthouse. Une musique hybride, instinctive et rythmée sur laquelle se déverse une version 2.0 d’une poésie hyper visuelle, toujours dans le juste équilibre. Entre vie de rue et hypersensibilité, rap et musique électronique, spleen et idéal : voilà ce qu’est la recette de Mowdee, unique représentant de son propre style.
Selug & $enar
Duo de rappeurs/compositeurs, leur style mélancolique s’inscrit dans la lignée des nouvelles têtes émergentes du rap hexagonal. On a d’un côté l’égotrip de Selug qui livre pourtant texte imprégné d’une profonde amertume, témoignant d’une histoire personnelle complexe et éprouvante. $enar de l’autre côté insufle une atmosphère sombre à la composition, à base de mélodies métalliques et d’une basse subtilement distordue.